LES PETITS TRAINS TOURISTIQUES

PETIT CLIN D'OEIL A MON FREROT

LA POSTE

LES VELIB EN VILLE

LES CAMIONNETTES PASSE PARTOUT

A L'ASSAUT DE LA VILLE

LES RAILS

 13 novembre  

Journée de la Gentillesse

 Un hommage aux bienveillants 

Le 13 novembre, c’est la Journée de la Gentillesse. Et si vous êtes du genre à sourire aux autres, à laisser passer les personnes pressées dans la file du supermarché, à répondre « de rien » lorsqu’on vous remercie, à écouter et à conseiller vos amis quand ils ont besoin de vous ou à rendre service à votre voisine du dessus… Vous faites partie des gentils, soyez-en fier !

Une vraie force 

Contrairement aux idées répandues, les gentils ne sont pas idiots, ni naïfs. Dans un monde où la méchanceté et la rigidité sont associées à la réussite, il est parfois dur de dissocier le Gentil de la bonne poire excessivement crédule. Mais, bien au contraire, la gentillesse représente une vraie finesse d’esprit.

Les plus grands écrivains l’ont même écrit :
« La gentillesse est une qualité de l’intelligence », Voltaire
« La gentillesse est la noblesse de l’intelligence », Weber
« Seuls les gens intelligents sont gentils », Sartre

Contrairement au « Méchant » (qui écrase son prochain pour se protéger et être moins vulnérable) le « Gentil » prend pertinemment le risque de se faire abuser dans le but unique de se préoccuper du bien être des autres : c’est une véritable grandeur d’esprit. Bien sûr, la gentillesse ne doit pas être confondue avec le sacrifice permanent, dont certaines personnes pourraient abuser. Mais arrêtons aussi de croire que l’Autre est un ennemi qui cherche toujours à nous nuire !

La récompense des gentils ?Le bonheur, pardi et la paix !                 

Toutes les études le disent, le fait d’être gentil au quotidien est une source de bien-être, de sérénité et permet de perpétuer la bonne humeur. Alors que la méfiance et l’agressivité apportent un sentiment d’isolement, d’angoisse et de stress, la gentillesse apporte une réelle touche d’optimisme à la vie. De plus, il paraît qu’être gentil est bénéfique pour la santé. D’après des études publiées dans des revues scientifiques, les émotions positives et l’état d’empathie génèrent une poussée de sérotonine (neurotransmetteur indispensable au bien-être psychique) alors que les émotions négatives et le ressentiment élèvent le rythme cardiaque et la pression artérielle.

PETITE POINTE D'HUMOUR POUR LES VILAINS !

11 novembre : commémoration de l’Armistice

Cette date est un moment de réflexion dans notre époque tourmentée qui perd tous ses repères et ses valeurs de patrie libre. Je me demande ce que penseraient tous les poilus, ces soldats des tranchés, ayant combattu dans l’enfer de la boue, de la crasse, du froid et de la faim pour défendre notre pays de l’envahisseur…

Il y a 95 ans, le 11 novembre fut considéré comme un jour merveilleux.
… Un jour qui mit fin à cinq années de batailles atroces, sanglantes et meurtrières.

Une date mémorable 

En effet, entre 1914 et 1918, la première guerre mondiale a terrorisé des millions d’européens. Elle engendra plus 10 millions de morts et 20 millions d’invalides.
À l’époque, la France, partenaire de la Russie et de la Grande-Bretagne dans la Triple Alliance, s’opposait à l’Allemagne et à l’Autriche-Hongrie, réunies sous le nom des Empires Centraux dans un combat sans précédent. C’est à Rethondes, le 11 novembre 1918, à 5h15 du matin, dans le wagon-restaurant du Maréchal Foch que fut signée l’Armistice, ordonnant un cessez-le-feu immédiat et un retrait des troupes des champs de batailles. On dit que les cloches et clairons ont sonné dans toute la France durant une journée entière, pour rendre honneur à cette paix inespérée.

Les valeureux poilus, soulagés et heureux, chantaient fièrement « La Marseillaise » dans les rues. 6 mois plus tard fut signé le Traité de Versailles, le 28 juin 1919, qui instaura la paix et détermina le sort territorial, économique et financier de l’Allemagne. Ce jour de mémoire est férié dans l’hexagone. Depuis son officialisation en 1922, tous les français rendent hommage au courage et au patriotisme des anciens combattants. Le Président de la République décore chaque année la tombe du Soldat Inconnu, en tant que représentant des millions de soldats disparus lors des guerres.

En ce 11 novembre, il est du devoir de tous de ne pas oublier

la barbarie de la guerre, et toutes ses victimes.

Tatouage

 Peu importe notre âge, notre sexe ou notre couleur de peau, cet ornement exprime notre singularité à la face du monde.

Tout tatouage a une histoire. Marquer sa peau à l’encre indélébile est un acte fort, une façon de prendre le contrôle d’un corps qui nous échappe, ou de graver à jamais un souvenir, une joie, une douleur, quelque chose qu’on a peur d’oublier, montrer une appartenance, avoir un besoin de reconnaissance.

Si le tatouage était, à l’origine des temps, une façon de marquer son appartenance à un clan, puis plus tard, à un groupe social (marin, soldat, motard, gangster, bad boy), on le croise aujourd’hui sur toutes les peaux. Femme ou homme, jeune ou vieux, riche ou pauvre : le tatouage est « encré » dans les moeurs.

Même si le tatouage est encore trop souvent mal perçu par la société, il est beaucoup plus répandu qu’on le pense. En dehors de ces personnes qui font de leur corps une œuvre d’art et qui prennent plaisir à s’exhiber dans le but d’être reconnues, le tatouage retrace quelque chose de plus intime et il est souvent caché à la vue de tous et ne se révèle qu’en certaines circonstances.

 Ci dessous MON tatouage et son histoire

Histoire de « MON » tatouage

L’initiative ne vient pas de moi, mais de ma fille alors âgée de 18 ans à l’époque.

Nous avions une relation très très  fusionnelle. Elle était très chagrinée de ne pas me ressembler, elle est brune aux yeux noirs, comme son père et moi blonde aux yeux verts.

Lui vint alors l’idée de faire connaitre à tout le monde que nous étions mère et fille par un signe distinctif commun.

Elle me proposa alors le même tatouage que nous aurions « dans la peau » à vie. J’acceptai bien que n’ayant jamais eu l’idée de me faire tatouer un jour, je réservai cette pratique à une certaine catégorie de personnes et cela me semblait très excentrique.

Mais pour faire plaisir à ma fille, je me suis laissée convaincre à condition que le motif soit discret.

Elle avait repéré le salon et nous voila parties, avec mon mari (non pas son père) et ma fille, un samedi matin. Ma fille voulait un tatouage qui parle, qui me parle aussi. Elle proposa trois étoiles, une grosse, une moyenne et une plus petite qui représenteraient la maman, le fils et la fille.

Je la laissai faire avec le tatoueur qu’elle semblait connaître. Le dessin fait, il me fut proposé. Je fis rétrécir  les dimensions et nous avons convenu d’un endroit. Elle le voulait visible pour que tout le monde sache et pose des questions sur son origine. Le creux de l’épaule fut décidé pour son implantation.

Qui passe la première ? Ma fille avait un peu peur, alors bravement mais en serrant quand même les fesses, je me suis proposée. Me voila assise, le tatoueur à côté de moi. Il a appliqué un calque pour dessiner exactement les contours des étoiles, puis il a commencé à faire vibrer son appareil. Sur le moment ça surprend, ça ne fait pas mal, c’est bizarre cette sensation, ça gratouille mais ça ne chatouille quand même pas !

Puis au tour de ma fille, rassurée de voir que je n’avais rien dit. Mais elle n’eut pas les mêmes réactions que moi, elle a trouvé que ça brulait et m’a traitée encore une fois de maso.

Pansements sur le tatouage pour sortir et puis à l’air ensuite. Pas d’eau dessus pendant quelques jours, vaseline et hop, le tour était joué.

Pendant longtemps nous avons arboré nos tatouages avec fierté, heureuses d’expliquer le pourquoi de cette initiative.

Mais on n’a pas quelqu’un dans la peau à vie. Les choses ont changé. Après des évènements bien tristes, ma fille s’est détournée de moi mais nous avons toutes les deux toujours ce tatouage qui nous parle des instants de partage.

Pour moi toutefois les choses ont évolué. Je ne regarde plus ce tatouage comme une marque d’amour mais comme un tatouage tout simple sans signification. Je me dis que j’ai bien fait de vouloir un tatouage neutre et simple.

Maintenant il me trotte dans la tête, l’envie d’en faire un autre bientôt. Un seul mot qui résumerait toute ma vie : « destin », sur la cheville gauche, du côté du cœur, comme l’autre.

Résumer ma vie en un mot…..