Journée internationale de l'amitié

Elle a été proclamée en 2011 par l'ONU pour promouvoir l’amitié entre les peuples, les pays, les cultures et les individus et inspirer autant que faire se peut les efforts de paix entre communautés... un discours qui fait du bien même si il faut se reférer au Docteur Coué !

La résolution 65/275 votée par l'ONU insiste sur la participation des jeunes et sur celle des futurs dirigeants de pays, à des activités qui impliquent les différentes cultures et proment la compréhension entre les pays et les communautés et le respect de la diversité. 

La Journée Internationale de l'amitié soutient aussi les buts et les objectifs de la "Déclaration et du Programme d'action sur une culture de la paix" (ONU).

L'ONU encourage les gouvernements, les organisations et les individus à programmer toutes sortes d'événements, activités et initiatives qui contribuent aux efforts de la communauté internationale de promotion d'un dialogue entre les civilisations, la solidarité, la compréhension mutuelle et la réconciliation.

 Mais où est ce Dieu si bon qu’il ne sache faire taire les armes ?

Il me paraît même un peu "léger" de parler d'amitié tout court en sachant que la guerre gronde.

Mais, mes amies, je vous envoie tout plein de bonnes choses amicales.

Pas de pluie, c'est l'essentiel ! Les fermes de Viltain ! Des étendues à perte de vue ! La liste de ce qui est à cueillir est affichée à l'entrée avec le prix au kilo (même pour les fleurs, si si !). Puis un fléchage. Des champs de part et d'autre de la petite route. On se munit de petits sacs vendus 0,05 cts, de barquettes carton et même de brouettes. Les chapeaux de paille ne sont pas de rigueur. Certaines personnes sont arrivées bien équipées, grands sacs rigides, boîtes à couvercles, raclettes, binettes, cisailles. Ben moi, je n'avais que mon sac à main et ma bonne volonté, pas trop décidée non plus à cueillir puisque seule, donc pas besoin de faire un marché complet. Ah si, j'avais emmené une paire de ciseaux pour les fleurs ! Alors, quelques sacs à l'entrée, et je cherche sur les champs, les noms des légumes qui m'intéressent : tomates, courgettes, poivrons, salades, haricots verts, aubergines. Ca y est, je suis partie, je traverse la route, direction les tomates ! Bien sur les premiers rangs sont presque déserts, trop fréquentés alors il faut aller plus loin, mais plus loin, c'est loin ! Bref, elles sont là, bien rouges, avec quelquefois de drôles de formes. J'en goute une : excellente ! Puis une seconde histoire de voir si mes papilles ne s'étaient pas trompées ! Ben non, elles sont bonnes. Puis, un peu plus loin, les haricots verts. Mais là c'est une autre histoire ! Plus rien, tout a été raflé par les précédents passeurs ! Alors, baskets dans la terre, je m'enfonce plus loin dans les rangs, mais pas grand chose, je reviens avec des petits haricots et je vous promets qu'ils sont si fins qu'ils n'ont aucun fil !

Je sors de la gadoue, je me frotte les pieds sur le peu de pelouse du sentier et je continue. La bas, je vois "framboises". J'y vais : Ben les framboises ont subit le même sort que les haricots verts, elles sont bien rares. J'en vois, j'en ramasse et je les mange. J'ai ainsi gouté en ramassant mais je n'en ramène pas.

Puis au rayon courgettes. Ca brille, ça éclaire, c'est tout beau les fleurs de courgettes, j'adore ça. Je crois que j'ai pris plus de photos que je n'ai ramassé de courgettes. J'aime regarder ces jolies fleurs posées au bout du légume.

Puis c'est le tour des poivrons, ils sont tout petits. J'oublie même de les prendre en photos.

Bon là j'arrête ma cueillette et je vais aux fleurs. Je pose mes charges sur le bord du chemin et je vais cueillir toute une variété de fleurs pour offrir à mes copines et à la nounou de mon toutou. Je m'en charge les bras.

C'est curieux, mais dès que j'ai posé le pied sur la terre dans cette ferme, j'ai ressenti une odeur de crottin de cheval ou de bouse de vache. Bien sur la ferme aux animaux n'est pas loin, d'ailleurs je n'irai pas, j'ai mal au dos. Cette odeur me poursuit et je l'ai encore dans le nez en rentrant à la maison.

Bon maintenant allons dans l'autre partie. Je traverse la route, mes bras chargés. Il me faut de la salade. Les pieds sont superbes, pommés, les feuilles bien robustes et tendres à la fois. C'est tout boueux mais il faut que j'y aille. Un gentil monsieur m'accoste et me demande si je veux qu'il aille me choisir mes salades pour que je ne me gadouille pas plus. Gentil le monsieur, je lui dis comment je les veux et il me les ramène, me les met dans un de mes sacs et continue la conversation sur les salades : laitiers, batavias....jusqu'au point accueil.

Je vais passer à la caisse, il y a déjà la queue et des personnes de mon groupe squattent les bancs tout autour. Notre chauffeur discute avec une fille des jardins.

Je paie, pas cher vu ce que j'ai et ce que j'ai mangé aussi. Je prends aussi une bouteille de jus de pomme et voilà !

Retour à la maison. En chemin nous avons été bien arrosés. Des trombes d'eau. Puis plus rien en arrivant.

En tout cas chez moi les fleurs et les légumes sentent encore le crottin de cheval ou la bouse de vache, en tout cas ça sent la campagne et j'aime bien !

La prochaine fois je vous mettrai des photos des fleurs que j'ai ramenées.

C’est les vacances et l’abandon des animaux est en recrudescence. Les refuges et la SPA accueillent des animaux bien tristes, certains vont se laisser mourir, d’autres vont devenir agressifs, mais tous seront bien tristes de perdre leur maitre car les animaux vénèrent leur maître et leur restent fidèles.

J’ai lu tant de récits si tristes sur ce sujet que je n’ai pas voulu en mettre un, j’avais le cœur bien gros et bien triste. Alors, un petit retour sur l’adoption en plein été de mon Coca.

J’avais perdu ma petite chienne Nana, une canichette abricot, en mai, elle avait 12 ans et était diabétique, morte d’une hémorragie après de nombreux soins, et je ne voulais plus avoir de chien, trop de chagrin, mais je n’ai pas résisté longtemps, ayant été élevée avec des chiens, ça me manquait.

Le 9 août, de très bonne heure, avant même l’ouverture des portes de la SPA, nous étions là. Un homme attendait aussi avec un chien de grande taille. Il nous accosta en nous demandant si nous étions là pour adopter. Il nous a proposé son chien, il venait l’abandonner, sa femme n’en voulait plus ! Quelle honte ! Mais je me dis que c’était moins cruel que de l’attacher à un arbre dans une forêt ou sur le bord d’une route. Nous n’avons pas pris ce chien, nous étions en appartement, il nous fallait un chien de petite taille pour ne pas le rendre malheureux.

De l’extérieur on entendait des aboiements en nombre important. Mais quelle ne fut pas notre surprise de voir de quelle façon tous ces animaux étaient traités. Les cages étaient nettoyées au karcher, les animaux dedans, tout mouillés. Une gamelle de nourriture pour 4 ou 5 bêtes, trois petites gamelles d’eau. Bien sur, en cette saison, les animaux sont nombreux mais quand même !

J’ai  donc adopté, il y a 15 ans, mon canichou à la SPA, le 9 août, le jour de la Saint Amour. C’était un chien, recroquevillé dans le coin d’une cage, sale, puant, malade de tous les côtés, voué à l’euthanasie. On ne voulait pas me le vendre mais quand je l’ai eu dans mes bras, il a blotti sa tête au creux de mon cou et j’ai su que je devais le sauver, il m’attendait, il avait besoin de moi, il comptait sur moi et je devais tout faire pour  ne pas trahir la confiance qu’il mettait en moi. Il me regardait avec des yeux si tristes que j’en ai pleuré. Je voulais un chien blanc, je suis ressortie avec un chien noir ! Il n’aboyait pas, ne savait rien faire, même pas pipi comme un chien, marchait sur le train arrière, il était triste, si triste. J’ai eu beaucoup de mal à le soigner, ce fut long, mais on aurait dit qu’il savait que tout ce que je lui administrais c’était pour son bien. Mon vétérinaire m’a dit qu’il devait être né en février, je lui ai donc inventé la date du 14 février, jour de la saint valentin. Je n’ai jamais regretté de l’avoir pris, c’est une montagne de tendresse et de reconnaissance à tel point que le vétérinaire m’a dit qu’il ne supporterait pas un abandon, il en mourrait et il a raison. Il ne supporte que ma présence. Avec l’âge, il ne veut même plus aller avec sa nounou qui l’a pourtant gardé tant de fois. Lors de ma dernière hospitalisation, en janvier, il se laissait mourir, refusait de manger, se couchait derrière la porte, ne tenait plus debout. Nounou l’a même emmené chez le vétérinaire qui ne savait pas quoi faire. Nounou pensait que c’était sa dernière heure. Elle m’a appelée à l’hôpital pour me demander ce qu’elle devait faire, voyant Coca mourant.  J’ai du inventer un prétexte bidon pour sortir avant le jour fixé. De retour à la maison, mon toutou s’est mis à faire des bons, des cabrioles, à tourner sur lui-même, à aboyer pour me montrer sa joie. Il a recommencé à manger et à vivre normalement. Il est toujours près de moi, me suit partout, et pourtant la maison n’est pas grande ! J’arrive à le laisser seul pour aller me faire des journées détente et quand je rentre, il est tellement content !

J’ai décidé de ne plus partir sans l’emmener. Mais j’ai tenté l’expérience avec des amis sur trois jours, il est dépaysé, ne trouve plus de repères, est perdu quand il ne me voit plus. Il est vieux, 15 an ½. Il a quelquefois des oublis, des difficultés avec ses pattes arrières qui font facilement le grand écart, il n’entend plus, il voit encore. Il aime faire des « parties » de jeux avec moi, en tournant sur lui-même, en aboyant, en prenant des poses rigolotes.

Je ne pars plus en vacances, je n’ai plus de voiture, je ne peux le porter en raison de mon dos et je ne veux pas me séparer de lui, pas plus d’une journée mais jamais une nuit.

C’est mon compagnon fidèle. Il est tellement reconnaissant !

Maintenant il existe une déclaration universelle des droits des animaux.

En voici la teneur :

Voici la Déclaration Universelle des Droits des Animaux :

Article premier

Tous les animaux ont des droits égaux à l'existence dans le cadre des équilibres biologiques. Cette égalité n'occulte pas la diversité des espèces et des individus.

Article 1

Tous les animaux naissent égaux devant la vie et ont les mêmes droits à l'existence.

Article 2

Toute vie animale a droit au respect.

Article 3

1.    Aucun animal ne doit être soumis à de mauvais traitements ou à des actes cruels.

2.    Si la mise à mort d'un animal est nécessaire, elle doit être instantanée, indolore et non génératrice d'angoisse.

3.    L'animal mort doit être traité avec décence.

Article 4

1.    L'animal sauvage a le droit de vivre libre dans son milieu naturel et de s'y reproduire.

2.    La privation prolongée de sa liberté, la chasse et la pêche de loisir, ainsi que toute utilisation de l'animal sauvage à d'autres fins que vitales sont contraires à ce droit.

Article 5

1.    L'animal que l'homme tient sous sa dépendance a droit à un entretien et à des soins attentifs.

2.    Il ne doit en aucun cas être abandonné, ou mis à mort de manière injustifiée.

3.    Toutes les formes d'élevage et d'utilisation de l'animal doivent respecter la physiologie et le comportement propres à l'espèce.

4.    Les exhibitions, les spectacles, les films utilisant des animaux doivent aussi respecter leur dignité et ne comporter aucune violence.

Article 6

1.    L'expérimentation sur l'animal impliquant une souffrance physique ou psychique viole les droits de l'animal.

2.    Les méthodes de remplacement doivent être développées et systématiquement mises en œuvre.

Article 7

Tout acte impliquant sans nécessité la mort d'un animal et toute décision conduisant à un tel acte constituent un crime contre la vie.

Article 8

1.    Tout acte compromettant la survie d'une espèce sauvage, et toute décision conduisant à un tel acte constituent un génocide, c'est à dire un crime contre l'espèce.

2.    Le massacre des animaux sauvages, la pollution et la destruction des biotopes sont des génocides.

Article 9

1.    La personnalité juridique de l'animal et ses droits doivent être reconnus par la loi.

2.    La défense et la sauvegarde de l'animal doivent avoir des représentants au sein des organismes gouvernementaux.

Article 10

L'éducation et l'instruction publique doivent conduire l'homme, dès son enfance, à observer, à comprendre et à respecter les animaux.

La Déclaration Universelle des Droits de l'Animal a été proclamée solennellement à Paris, le 15 octobre 1978, à la Maison de l'Unesco.
Son texte révisé par la Ligue Internationale des Droits de l'Animal en 1989, a été rendu public en 1990. 

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Si ce texte vous a plu et touché, alors n’hésitez pas à le diffuser partout où vous le jugerez nécessaire ! Si par cette action, on pouvait faire comprendre à certaines personnes qu’UN ANIMAL N’EST PAS UN OBJET, MAIS UN ÊTRE VIVANT, peut-être que, osons rêver, leur sort s’améliorera… !!!

Pivoine

Bronzage : comment calmer un coup de soleil ?

En été, période propice au bronzage et au farniente sur la plage, le soleil nous joue des mauvais tours. Après la première journée d'exposition, nous sommes nombreuses à attraper un coup de soleil. Voici des solutions simples et rapides pour soulager la douleur et retrouver une jolie peau.

Le soleil se fait désirer toute l'année. Résultat, à l'arrivée des beaux jours, nous nous empressons d'en capter les moindre rayons pour nous redonner le moral, faire dorer notre peau et obtenir un hâle estival. Mais il n'est pas rare que le bronzage se transforme en vilaine rougeur accompagnée d'une inflammation douloureuse et, dans les cas les plus graves, de fièvre, nausée et vertige. Malgré la panoplie de crèmes, huiles, pilules de bronzage existantes, chaque été, c'est la même histoire, le coup de soleil vous rattrape. Manque de vigilance, exposition prolongée, peau mal préparée... De nombreux facteurs peuvent en être responsables. Heureusement, il y a des astuces pour le faire disparaître. Cependant, il ne faut pas s'attendre à un résultat immédiat. Un minimum de 3 jours est nécessaire pour soigner le coup de soleil.

1. Le gel d'Aloe Vera : l'Aloe Vera est une plante originaire de la Péninsule Arabique et d'Afrique.  Hydratant naturel, adoucissant et anti-inflammatoire, il accélère la cicatrisation et soulage rapidement. Appliquer directement le gel sur le coup de soleil en massant. Si la douleur est trop forte, laisser reposer une fine couche. Répéter le soin 3 fois par jour jusqu'à la disparition des rougeurs.

2. Un cataplasme de yaourt : le coup de soleil est responsable des sensations de brûlures. Pour les apaiser, la peau a besoin d'être rafraîchie. Pour cela, la solution se trouve dans le réfrigérateur. Appliquer une couche épaisse de yaourt nature puis laisser poser 15 minutes avant de rincer à l'eau froide. Une bonne astuce pour mettre un terme aux douleurs lancinantes.

3. La pommade Biafine : elle est l'allié de tous les étés. Au moins aussi indispensable que le maillot de bain, la Biafine fait partie des incontournables à emporter dans sa valise. Appréciée pour ses vertus apaisantes, elle agit rapidement sur le coup de soleil non infecté pour rafraîchir et réhydrater intensément la peau.

4. Le jus de pomme de terre : les médicaments ne sont pas toujours nécessaires pour soigner le coup de soleil. Si on ne dispose d'aucune crème après-soleil, voici une astuce 100 % naturelle. Il suffit de mélanger une pomme de terre râpée avec du jus de citron et une cuillère à soupe d'huile d'olive vierge. Faire un masque épais sur la brûlure pendant une heure et rincer à l'eau. Puis renouveler l'opération pendant plusieurs jours.

5. L'homéopathie : elle se révèle être efficace pour mettre un terme au coup de soleil, et est particulièrement bénéfique pour atténuer la douleur. Deux remèdes homéopathiques existent : la Belladonna 9 CH, pour le coup de soleil rouge et douloureux, et le Cantharis 9 CH, pour la peau brûlée accompagnée de cloques. Ces médicaments sont disponibles en pharmacie.

6. L'huile de millepertuis : les fleurs de millepertuis sont reconnues pour leurs bienfaits apaisants, calmants, cicatrisants et antiseptiques. Il faut exposer les fleurs imbibées dans de l'huile d'olive pendant 15 jours pour ensuite extraire les huiles essentielles en les écrasant. Filtrer le mélange et l’appliquer sur le coup de soleil 3 à 4 fois par jour.

7. Frotter une tomate : rien de tel qu'un remède naturel pour soulager un coup de soleil en toute circonstance. Quelque soit le lieu, il suffit de se procurer une tomate pour apaiser la brûlure. Pour cela, couper un morceau et le frotter sur le coup de soleil jusqu'à en ressentir les effets. En plus d'être une source de vitamines et un antioxydant, la tomate va rafraîchir la peau.

8. Utiliser un concombre : naturellement riche en eau, le concombre est un soin idéal contre le coup de soleil. Le coupez  en  fines rondelles et les étaler sur la zone enflammée. Patienter quelques minutes. La peau réhydratée par la fraîcheur du concombre, sera rapidement soulagée.

9. Boire de l'eau : une solution simple mais indispensable. Boire beaucoup d'eau pour réhydrater son corps et compenser la perte. Ce geste aidera à favoriser le rétablissement et à mieux supporter la douleur.

10.  Un masque d'argile : l'argile est un anti-inflammatoire et un cicatrisant efficace. Préférer une argile verte concassée et de la terre argileuse. La mélangez avec de l'eau puis étaler la pate sur la peau. La laissez agir pendant 2 heures (il est conseillé de faire reposer une nuit). Rincer et la rougeur aura disparue.

Astuces pour soigner le coup de soleil

 Ne pas oublier que le meilleur remède reste la prévention. Appliquer régulièrement une protection solaire pour éviter tout coup de soleil et penser à bien s’hydrater. Eviter de s’exposer entre 12 heures et 16 heures, le soleil brûle rapidement la peau à ce moment précis de la journée. Enfin, veiller à ne pas confondre le coup de soleil avec l'allergie au soleil qui fait apparaître des plaques rouges parsemées de petits boutons et qui se traduit par des démangeaisons. 

BEL ETE